Accueil » PVT Nouvelle Zélande » Mon niveau d’anglais est-il suffisant pour partir en PVT ? 5 façons pour progresser avant son départ

Mon niveau d’anglais est-il suffisant pour partir en PVT ? 5 façons pour progresser avant son départ

par Jeremybackpacker
niveau anglais pvt australie

Si tu as pour projet de partir vivre l’expérience d’un PVT dans un pays anglophone, tu t’es peut-être déjà demandé si ton niveau d’anglais était suffisant. Première bonne nouvelle, tu appréhendes probablement autant que 99,99% des apprentis PVTistes !

Rien que l’idée de m’envoler seul pour l’Australie (autrement dit, pour l’autre bout du monde) était déjà une sacrée source de stress pour moi.

Mais ma seconde préoccupation principale était de savoir si j’allais rapidement pouvoir m’adapter, rencontrer du monde, trouver un travail.. Et pour cela, il faut comprendre un minimum, mais aussi se faire comprendre .. En Anglais !

Depuis, j’ai passé 3 années incroyables entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Je vais te parler de mon arrivée et du niveau d’anglais qu’il est bon d’avoir, mais également te partager 5 méthodes afin de t’améliorer avant même ton départ.

On y verra aussi des expressions locales qui te seront bien utiles à ton arrivée. Le slang australien regorge d’expressions dont seuls les Aussies ont le secret, haha.

Et on terminera par les 2 meilleures façons de t’acclimater et de progresser le plus rapidement possible une fois sur place.

À noter que cet article est surtout destiné à ceux et celles qui s’envoleront pour l’Australie ou la Nouvelle-Zélande. Même si ces conseils serviront à toute personne qui souhaite s’améliorer en anglais.
Si tu as d’autres astuces, conseils, ou des questions, n’hésite pas à laisser un commentaire, j’y répondrai avec plaisir !

Améliorer son niveau d’anglais avant un PVT | Sommaire & épingle

améliorer niveau anglais travailler en australie

Quel niveau d’anglais devrais-je avoir avant de partir ?

Cette question revient sans arrêt, et elle est parfaitement légitime.

Bon, soyons honnêtes, les Français et les Belges francophones, nous sommes probablement parmi les pires élèves quant à notre niveau d’anglais, même à la sortie des études.

Ma copine est Allemande ; je l’ai rencontrée en Australie quand elle avait 20 ans, et elle était déjà parfaitement bilingue. Comme tous les Allemands que j’ai pu croiser en voyage, d’ailleurs.

Retourner la question peut aider selon moi, demande-toi, par exemple..

Quel niveau minimum en français recommanderais-tu à un anglophone qui voudrait voyager et travailler durant une année en France ?

Idéalement :

  • Pouvoir avoir des conversations basiques pour rencontrer du monde
  • Être capable de faire des recherches sur des sites de recherche d’emploi et postuler
  • Être capable d’avoir des conversations au téléphone avec des employeurs
  • etc.

Ça te fait peut-être peur, vu comme cela, mais c’est pour te faire prendre conscience d’un excès de confiance dont beaucoup font les frais à leur arrivée.

Je pense que ça dépend aussi beaucoup de ta personnalité ; si tu es avenant, « extraverti », que tu n’as pas peur d’oser, de te planter, alors même avec un niveau très moyen, tu arriveras à te faire comprendre assez rapidement.

Les Australiens ont l’habitude des « frenchies » et de leur accent à la ramasse, ils s’adaptent et sont souvent hyper cools. Idem si tu arrives en auberge de jeunesse (hostel), tu vas rapidement avoir tes premiers échanges.

partir en australie arrivée Perth

Mon arrivée en Australie (Perth)

Dans l’article qui reprend l’ensemble des préparatifs pour partir en PVT en Australie, je recommande d’ailleurs vivement de commencer son aventure en hostel, c’est le meilleur moyen faire tes premières rencontres !

Si tu pars en Nouvelle-Zélande : Comment préparer son PVT en 9 étapes ?

En revanche, si tu es plutôt introverti, bienvenue au club ! Je te rassure, les PVT sont un remède incroyable à la confiance en soi, à aller vers l’autre, à s’ouvrir.

Dis-toi que chaque année, des milliers de PVTistes partent stressés comme jamais, mais n’attendent qu’une chose, rencontrer du monde et vivre une expérience inoubliable.

Dans les 2 cas, je ne peux que t’encourager à suivre les conseils qui vont suivre pour avoir des bases solides et améliorer progressivement ton anglais.

Découvrir et apprendre le mythique Australian Slang

Avant d’en venir aux méthodes, il me parait impossible de ne pas te parler du mythique « Australian Slang » (le jargon australien).

Les Australiens (Ozzies) peuvent avoir un accent très prononcé. Surtout lorsque tu t’éloignes des grandes villes et que tu t’enfonces dans le bush et l’Australie profonde.

Ils ont tendance à raccourcir énormément de mots, et d’avoir leurs propres expressions que même des Anglais ou Américains natifs ne comprendraient pas directement.

Pour te donner quelques exemples :

  • Arvo = afternoon : l’après-midi
  • Oz : Australie
  • Aussie = Ozzie : un Australien
  • Heaps = a lot : beaucoup de
  • Barbie : barbecue
  • Bloke : un gaillard
  • Bogan : un beauf’
  • Bottle-o : un magasin où l’on vend de l’alcool
  • Bush : l’arrière-pays australien
  • BYO : Bring Your Own – endroit où tu peux apporter ton propre alcool
  • Servo = service station : station essence
  • G’day : bonjour
  • Mate : mon pote/mon gars
  • Down Under : l’Australie et la Nouvelle-Zélande
  • No worries! : pas de soucis
  • Kiwi : un Néo-Zélandais

J’ai trouvé cette vidéo sympa d’une personne qui interview des Australiens sur leurs expressions préférées :

Tu n’as pas compris la moitié ? Ne t’en fais pas, c’est l’équivalent du Chinois pour la plupart des non australiens au début !

Personnellement, mes études en marketing étaient très exigeantes concernant le niveau d’anglais. J’ai également pu décrocher mon stage de fin d’études de 3 mois en Floride, donc même si j’appréhendais, j’avais une certaine « confiance » en mon niveau.

Mais apprendre le slang et s’habituer à l’accent prend quelques semaines, et c’est normal, ne t’en fais pas.

Si tu vois qu’un anglophone récemment arrivé en France a du mal, mais fait de son mieux pour te parler en Français, tu seras naturellement enclin à l’aider et à faire ton maximum pour simplifier tes phrases.

Et bien dis-toi que les locaux et les autres voyageurs feront pareil pour toi (et les voyageurs d’Amérique du Sud sont des quiches en anglais, donc tu ne seras pas le seul !)

Bref, voici donc 5 façons de te préparer au mieux avant de t’envoler pour Down Under !

Conseils qui te seront d’autant plus utiles si tu comptes travailler en Australie ou économiser en Nouvelle-Zélande pour t’acheter un van, comme tu t’en doutes, le niveau d’anglais joue énormément !

1. Rejoindre les groupes WHV anglophones (liste)

C’est probablement la manière d’apprendre la plus simple !

En rejoignant les groupes que je te liste ci-dessous, tu verras de temps à autre des publications apparaitre dans ton feed Facebook (je n’utilise personnellement plus Facebook, mais la seule raison pour laquelle j’y suis encore sont… Les groupes !)

En plus d’apprendre des termes qui sont utilisés par les backpackers/voyageurs/PVTistes sur place, tu vas progressivement y découvrir leur quotidien. Il y a souvent des publications sur la recherche d’emploi, le volontariat, l’achat d’un véhicule, etc !

Personnellement, parcourir ces groupes m’a permis d’énormément me rassurer et de savoir davantage à quoi m’attendre avant d’arriver sur place.

Je parle ici des groupes internationaux / anglophones.

Tu trouveras bons nombre de groupes francophones également, j’en ai moi-même créé 2 (ce sont les 2 seuls qui « m’appartiennent » :

  1. PVT Australie : le calendrier des départs 2021/22/23
  2. PVT Nouvelle-Zélande : le calendrier des départs  2022/2023

Le principe des calendriers des départs est de permettre à des futurs PVTistes de s’inscrire à un calendrier communautaire pour trouver d’autres personnes qui partiraient au même moment, depuis la même région, ou qui arriveraient au même endroit à une même période, donc n’hésite si ça t’intéresse.

depart-pvt-australie-entraide-conseils

Cela étant dit, cet article visant à améliorer ton anglais, je t’invite vivement à ne pas te contenter de groupes francophones.

D’ailleurs, rencontrer des francophones est très simple au début, et c’est rassurant.

Mais le « piège » consiste à passer son année entière à l’autre bout du monde à travailler, voyager ou encore habiter avec des personnes de son pays d’origine.

La richesse du voyage c’est de s’ouvrir aux autres et de rencontrer des personnes des 4 coins du monde, non ?

Voici quelques groupes internationaux pour le « Working Holiday Visa » en Australie :

Je t’invite aussi à rejoindre un ou plusieurs groupes lorsque tu auras choisi ta ville d’arrivée (backpackers in Sydney, Melbourne, Perth, etc..).

Les groupes internationaux pour le « Working Holiday Visa » en Nouvelle-Zélande :

À lire : mises en garde quant à ces groupes

DISCLAIMER : Je ne possède pas ces groupes et n’en suis pas responsable.

J’ai simplement fait une recherche sur FB.

Il faut bien savoir que, aussi bien les groupes internationaux que francophones sont souvent administrés par des agences ou des personnes qui ont une activité en lien avec l’Australie (c’est d’ailleurs mon cas, avec mes 2 groupes).

Cela étant dit, certaines administrateurs / employés / influenceurs l’utilisent uniquement à des fins promotionnelles.

J’ai moi-même été banni de la plupart des groupes francophones après 4 ans de participation active, simplement car j’ai fini par créer mon propre blog (oui, oui, c’est un motif de ban pour les admins anti-concurrence, on aime).

Business is business, reste donc méfiant de certains administrateurs qui, sous couvert « d’aide à la communauté« , t’incitent à prendre tel ou tel service (pour toucher une commission) et censurent/bannissent ceux qui n’approuvent pas cette manière de faire.

Autre mise en garde, reste très vigilant aux arnaques ; ces groupes sont les lieux parfaits pour des arnaques en tout genre ; faut job pour lequel il faut payer le logement en avance, véhicules avec des vices cachés..

Enfin, certaines personnes mal intentionnées utilisent aussi ces groupes pour copier des « profils » et contacter des membres des familles en réclamant de l’argent « de toute urgence » en inventant un prétexte « ma carte a été volée, je suis à la rue blabla ».

Je te conseille de définir un « mot secret » avec tes proches à l’avance ; en expliquant qu’ils doivent toujours l’exiger avant de faire quoi que ce soit.

2. Des cours particuliers en ligne avec Preply

Preply est une plateforme éducative en ligne qui associe à distance les étudiants avec des tuteurs privés.

En gros, cela revient à suivre des cours privés en ligne avec un tuteur ou une tutrice de ton choix.

J’en avais déjà entendu parler, mais je t’avoue n’avoir jamais sauté le pas ! J’ai cependant déjà vu des membres de différents groupes en parler, et je trouve que la possibilité de « choisir » et de voir des vidéos de présentation des différents tuteurs est extrêmement rassurant !

apercu preply apprendre anglais

Aperçu des tuteurs sur Preply

Tu peux également « définir » le pays d’origine du tuteur de la tutrice, voir les avis, choisir ton créneau horaire.

apercu preply apprendre anglais 2

Ex : recherche d’un tuteur/tutrice belge ou français et dispo de 18 à 21h

L’énorme avantage de ces cours en ligne est aussi le prix (en plus de la leçon d’essai).

J’aime privilégier les « vrais rapports humains », mais tout le monde n’a pas la possibilité de trouver un professeur certifié près de chez lui ; c’est là où une plateforme comme Preply peut être une alternative à tester pour moins de 20€/h et à ta meilleure convenance.

Si tu lis ceci, que tu l’as déjà testée (ou que tu t’y essaies), n’hésite pas à laisser un petit commentaire pour partager ton expérience !

Ils ont également un tas d’articles de blog afin de partager des conseils pour apprendre l’anglais pour voyager.

3. Progresser grâce aux séries (ou via Youtube)

Cela reste un grand classique, mais c’est la manière la plus agréable de progresser sans trop d’efforts, qu’on se le dise.

Pour Youtube, tu peux trouver des chaines ou des vidéos qui te plaisent et activer les sous-titres.

Concernant les séries, je te conseille d’y aller progressivement :

  1. Voix en anglais et sous-titres en français
  2. Voix en anglais et sous-titres en anglais (comprendre l’oral et améliorer l’écrit)
  3. Voix en anglais uniquement (focus sur la compréhension à l »oral, on a tendance à lire avec des sous-titres)

Si tu démarres de loin, pourquoi ne pas te refaire une série que tu aurais déjà regardée par le passé ? Tu connaitrais « l’histoire » et ça te permettra de « deviner » les dialogues et les contextes pour facilement.

Et, si à ce jour, tu as toujours regardé les films ou les séries d’origine anglophone en français.. Ta vie va changer.

Tu vas réaliser à quel point, dans l’énorme majorité des cas, les doublages francophones n’arrivent pas à la cheville des versions originales, sans parler des blagues ou des expressions anglaises/américaines intraduisibles.

Et si tu n’as jamais suivi Breaking Bad jusqu’à la fin, tu as désormais une bonne raison de le faire !

Récemment, on s’est refait tous les « Harry Potter » en anglais. Moi qui avais tout regardé en français durant mon adolescence, ça a bien fait rire ma copine (qui les a toujours regardés en version originale) d’entendre comment on appelait certains personnages en français.

Sinon, j’ai trouvé cet article qui recense 15 séries pour progresser en anglais; à tester !

4. Les applications mobiles

On entend de plus en plus parler de ces applications mobiles ces derniers temps.

Le concept est bien adapté à notre vie actuelle ; on a à priori toujours notre téléphone sur nous. Il suffit de 10-15 minutes par jour (et de s’y tenir) pour progresser.

Forcément, il y en a pas mal.

J’ai tout récemment fini par craquer pour Babbel, l’une des plus connues. Ils offraient 6 mois pour 6 mois d’abonnement, et mettre ces 47€ va « m’obliger » à vouloir les rentabiliser.

En tout cas c’est ma stratégie.

On s’intéresse de plus en plus au Portugal, et on compte y passer plusieurs mois prochainement, et peut-être beaucoup plus si ça nous plait, alors autant s’y mettre dès aujourd’hui !

apprendre langue duolingo

Je sais, mon niveau de Portugais est déjà impressionnant !

Ça doit faire 2-3 semaines que je l’ai, et pour l’instant je m’y tiens, et je pense avoir déjà progressé (bon, je démarrais de 0, ok).

C’est bien pensé, didactique, pédagogique, avec des révisions, etc ! J’aime bien, ça alternait exercices imagés, grammaire, phrases pratiques. Tu peux aussi entrainer ta prononciation si tu le souhaites (mais ce n’est pas obligatoire, si t’es dans le bus, pas sûr que t’aies envie de sortir ton plus bel accent publiquement haha).

Comme beaucoup de choses, c’est une question d’habitude, il faut que je me trouve un créneau de 15 minutes dans ma journée et que ça devienne aussi automatique qu’aller me brosser les dents !

Il y a souvent une semaine offerte, je t’invite donc à tester et voir si ça te plait ou non !

5. Lire en anglais

La lecture est probablement une manière encore plus efficace d’assimiler une nouvelle langue.

Certes, la compréhension orale et le fait de pouvoir s’exprimer de vive voix sont les choses les plus utiles au quotidien. Mais le fait de lire un bouquin permet d’améliorer considérablement son orthographe, sa grammaire, ainsi que de découvrir des nouvelles formulations, tournures de phrases, etc.

Je compte rédiger une liste de bouquins sur divers sujets (développement personnel, entrepreneuriat, etc) prochainement.

Mais, pour commencer à lire en anglais, je recommande des bouquins assez simples, comme le Petit Prince, par exemple. (Si tu ne l’as jamais lu, ne te fie pas au nom, ça reste un des livres les plus criants de vérité).

Sinon, pourquoi ne pas te refaire quelques Harry Potter si, comme moi, tu as fait partie de la génération qui attendait chaque nouveau tome en faisant la file à la libraire !

Les meilleurs moyens de progresser dès ton arrivée

L’immersion restera toujours la meilleure manière d’apprendre une langue selon moi.

Une fois sur place, en plus de t’occuper des démarches essentielles à faire dès ton arrivée, il y a pour moi 2 options efficaces pour rapidement être plus à l’aise avec l’anglais « du quotidien ».

1. Prendre des cours d’anglais

J’aborde plus en détail les cours de langue ainsi que les séjours linguistiques dans l’article dédié aux études en Australie.

Mais pour te donner une petite idée des prix ; cela peut varier, mais pour 20 heures de cours d’anglais par semaine, il faut compter environ 200€ par semaine.

Pour avoir discuté avec Go Study Australia, ils arrivent régulièrement à obtenir de meilleurs prix pour descendre jusqu’à 170-180€/sem en fonction des destinations et des disponibilités.

voyage australie iles whitsundays

3 jours de croisière aux Whitsundays

Go Study Australia est un partenaire. Si tu connais ce blog depuis un moment, tu sais que je suis le plus transparent et sincère dans ce que je recommande.

Go Study Australia – France est la seule agence de ce type avec laquelle j’ai accepté de travailler. Simplement car c’est la seule (à ma connaissance) qui travaille directement  pour le gouvernement australien, ce qui veut dire qu’ils ne margent pas sur les prix des cours, des études, etc.

Si tu souhaites plus d’informations sur les cours, les tarifs, ou même la possibilité de partir étudier ou faire un séjour linguistique en Australie, je t’invite à prendre contact avec eux. Cela ne t’engage à rien, et ils sont vraiment pros. Dis-leur venir de ma part et ils seront aux petits oignons avec toi !

2. Faire du Helpx / Wwoofing chez des locaux

Aussi bien en Australie qu’en Nouvelle-Zélande, mes expériences en HelpX sont des souvenirs mémorables.

travailler en australie bénévolat

Travailler en tant que bénévole en Australie, y a pire !

En 2 mots, le principe est basé sur le bénévolat, tu travailles 5/6h par jour en échange pour être logé, nourri et blanchi chez des australiens ou des néo-zélandais !

Tu vis donc dans un environnement 100% anglophone 24h/24. Même si ça peut faire peur au début, ne t’en fais pas, les « hosts » sont habitués et sont souvent hyper accueillants et chaleureux !

C’est via ce principe que j’ai notamment passé 1 mois dans un refuge pour bébé kangourou dans le bush australien !

Deux articles entiers sont dédiés à ces expériences sur le blog, donc si ça t’intéresse, les voici :

Voilà, j’espère que cet article t’aura été utile !

Cet article possède des liens affiliés, ce qui signifie que si tu passes par ceux-ci, je toucherai une commission, ce qui me permet de faire vivre ce blog et de l’alimenter (et le prix ne change évidemment pas pour toi !).

Si tu as encore des questions ou des remarques, ou d’autres astuces pour améliorer ton anglais, n’hésite pas à les partager via les commentaires.

Merci de m’avoir lu jusqu’ici !

Talk soon mate !

5/5 - (3 votes)
Cet article t'a été utile ? N'hésite pas à le partager ou l'envoyer à un proche. :)

Ça devrait aussi t'intéresser !

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

2 Commentaires

INNOCENT Beossoum 27/05/2021 - 11:52

Mon niveau d’anglais est moyen et cela m’empêche pas d’apprendre une fois être là-bas.

Répondre
Jeremybackpacker 28/05/2021 - 08:11

Effectivemment !

Apprendre sur place via la pratique est la façon la plus efficace de faire à mes yeux.

Au plaisir,

Jérémy

Répondre

Des cookies sont utilisés sur ce blog pour te garantir la meilleure expérience. Continue pour accepter. D'accord En savoir plus.